Dans la cité de James Joyce, Irlande

Jour 9: 11 juillet, réveil dublinois sans précipitation mais sans chef pour cajoler mes papilles et me servir. Adieu le luxe et retour au fait main (les miennes!). Après une matinée en farniente et dilettante, nous reprenons notre visite de Dublin.

Les rues piétonnières, les grands magasins, les statues étonnantes posées de-ci de-là, la rivière Liffey et ses ponts, les artistes de rues, les devantures colorées, le quartier incontournable de Temple Bar avec ses pubs et ses artisans, les buveurs de bière dès 18h30... Que de chose à voir. Une seule journée ne suffit pas. Mais elle permet pour autant de mesurer la température ambiante de la ville. Les premiers adjectifs qui me viennent sont animée et conviviale. Mais Dublin est aussi la ville de la littérature comme l'a nommée l'UNESCO. James Joyce, Samuel Beckett ne sont que deux auteurs parmi la liste des grands écrivains nés à ou prés de Dublin.

19h venues, nous prenons une pause dans un pub et nous désaltérons d'une bière au goût de miel en écoutant deux chanteurs de rock. Pas de musique traditionnelle irlandaise pour ce soir!

Éreintés mais heureux, nous rentrons à l'appartement finir notre dernière soirée irlandaise et boucler nos bagages pour notre vol de retour à Toulouse du lendemain. La soirée est l'occasion de se remémorer les beaux et bons moments de notre voyage, d'échanger sur le lever matinal du soleil (vers 4h40), de son coucher tardif (22h) et de sa luminosité différente de celle de notre sud-ouest français, de visualiser les photos prises au cours du séjour, de regrouper les souvenirs amassés (cartes postales, plans, cailloux, coquillages...). Le sommeil et les rêves qui l'accompagnent ne sont que la continuité de notre soirée.

Quelle belle dernière journée!