J'ai lu "L'évangile de Jimmy", paru en octobre 2004, de Didier Van Cauwelaert.
C'est l'histoire de Jimmy Wood, réparateur de piscine dans le Connecticut, branché sexe avec la femme de sa vie et qui apprend dans sa trente deuxième
année qu'il est le clone du Christ.
C'est l'histoire d'un président des Etats-Unis et de sa cour qui hérite (héritage laissé par Clinton, puis ses successeurs à la Maison Blanche) de l'épée de Damoclès ou du miracle
qu'est la résurrection cachée et illicite du Christ ,... et du pouvoir éventuel qu'il peut en retirer.
C'est l'histoire de l'évolution de la société américaine et du monde (nous sommes en 2015), société dans laquelle on donne des amendes aux obèses, la majorité des hommes est stérile, le
président des Etats Unis est homosexuel, et les femmes musulmanes se sont rebellées contre l'intégrisme...
L'auteur s'est certainement beaucoup amusé à écrire son texte et j'y ai pris un réel plaisir les 100 premières pages. Mais après, tout traîne en longueur, avec les états d'âme des uns et des
autres; les intérêts des uns et des autres; le vrai, le faux...Ce long roman de 421 pages aurait pu être apuré d'au moins 200, à mon goût. Je me suis ennuyée mais j'ai poursuivi la lecture pour
savoir où voulait en venir l'écrivain. Même la fin, bien que plus intéressante, m'a laissée perplexe... A priori, je n'ai ni le sens de l'humour ni la philosophie adaptée à ce
livre!
Cette critique n'a de valeur que parce qu'elle est mienne.
<br />
<br />
Je suis d'accord avec vous. Au début, on est vraiment dans l'histoire puis petit à petit on s'en détache. La fin est un gros show à l'américaine, une critique acerbe des médias mais je n'ai pas<br />
aimé cette fin.<br />
<br />
<br />
<br />